EN CONSTRUCTION !! CE TEXTE N'EST PAS ENCORE DU TOUT BON, je vais le modifier totalement et le finir au mois de mai 2011, on saura enfin comment le capitano s'est débrouillé dans le m2tier de pinguin ranger. J'invite les lecteur à passer aux textes plus anciens...
Ce conte en trois parties pourra servir à un auteur de bande dessiné. (c'est un reve mais jusqu'ici pasd de desisnateur) Il est dédié à Béranger Cases et Cathy Serrano, mais il est aussi un maritime hommage au commandant François-Régis Cloup-Mandavialle dont j'ai encore perdu pour une troisième fois (c'est une fatalité !) le numéro de téléphone et à qui je ne peux pas souhaiter les voeux, j'aurais ainsi la preuve matérielle de les avoir donnés via internet ! Il était un capitaine de bateau tout bleu qui était particulièrement grand, avait les épaules carrées et les poumons puissants, il était fin costaud et fin musclé, son visage exprimait la gravité, la virilité, la puissance taillée au couteau mais quiconque regardait au plus profond de ses yeux vert d’eau pouvait y lire la pureté, l’innocence, l’amour. Or sa plus fameuse particularité était d'avoir une peau bleue qui en bronzant pouvait revêtir une teinte émeraude. Il avait aussi une grande, large et épaisse massue dont il se servait pour quelque action de héros, de guerrier, de justicier, car il était doté d’une force surhumaine, aveugle et brutale. Or il était maladroit au début de ses exploits, cela venait qu’il fut longtemps matelot mousse chez les pirates et qu’on lui fit une éducation rugueuse tout en l’y couvant comme un petit poussin : le chef l’avait adopté, l’ayant recueillit au bord de l’écume de la nageoire de quelque poisson chirurgien. Un jour son père adoptif lui dit : Va pirater de par le monde : avec tous ces biscotos que tu as, cela ne sera pas difficile. Un jour qu’il plongeait dans l’eau il sentit sa massue toute lourde : Le capitano - Qu'est-ce donc qui s'agrippe ? je verrai ça tout à l'heure : il y a plus pressé à l'horizon, je vois enfin un crocodile : je vais l'assommer comme un trophée ! Il lève sa massue, va pour frapper, mais à la place de la massue (et c'était cela le poids) notre capitaine brandissait un ornithorynque L'ornithorync au crocodile - Je m'appelle Platypulus et j'ai un regard si doux, si doux, ah ! si doux... Le crocodile - J'ai le coeur attendris, attendris, ah trop attendris ! Suis-je un crocodile ? un moineau ? J'ai du coton dans les dents ! Comme mon coeur est gros et grand ! J'ai les larmes qui me montent et je me fais de la bile ! Platypulus (c'est le nom de notre ornithorync) - Pleure, pleure, ah pleure ! c'est ta nature profonde ! Et le crocodile retourne sagement à l'eau sans essuyer de coup violent, aucun ! sans lutte, dans l'amour et la paix. C'est à cause du regard magique de Platypulus. Le crocodile - Peace and love... Le Capitaine très en colère - Comment moi ne pas frapper ne pas combattre, ne pas abattre ! (regardant méchamment l'ornithorync) un chien saucisse moitié canard me vole ma proie ! au lieu de gloire, on ira clamer ma honte ! Va-t-en vile bête, n'ose plus devant moi montrer une tête immonde, avec des yeux : ouh ! Et d'un violent coup de pied, il jette loin de lui l'animal étrange, l'ornythorynque Platypulus ! c'est lui qui a un bec de canard même si c'est un mammifère primitif !
Et marchant d'un pas agacé, capitaine-massue s'éloigne vivement, tandis que le doux mammifère primitif, tel un destin, le suit tout de même, les yeux remplis d'amour. Le capitaine marchait tant et tant, naviguait tout autant et tomba sur une île paradisiaque. Le ciel était bleu, la mer émeraude. Mais le capitaine avait toujours en lui cet énervement d'autant qu'il était ereinté sous le soleil frappant, au milieu du sable...
Le Capitaine - Quelle chaleur !
... il se retourna et vit bien que l'ornithorynque le suivait toujours
Le Capitaine - Mais lâche moi les tongues ! Le mammifère primitif le regardait encore plus triste encore plus doux. Alors ce fut la crise de nerf : Horreur ! sacrilège ! Voyez : un malheureux rocher en fit les frais, pulvérisé sous la massue du Capitaine ! Toujours là, l'animal gonosomé dispendait toujours son regard pur ; fatigué, le capitaine s'était assis sur la plage. Le capitaine - Je vois bien bien que désormais il n'y a plus rien à faire pour me débarrasser de ce joli petit monotrème ! Chouette, quelle aubaine ! Platypulus se met vite dans les grosses mains du capitaine pour se faire caresser. Mais des pas étranges attirent soudain leurs attentions ! Un troupeau de fantôme de dinosaures passe là sur la plage, laissant des empruntes belles jusqu'au plus lointain de la perpective. Puis voici des poissons coureurs qui vont dans tous les sens à trois cent kilomètres heure. Les poissons en sifflant - Prenez garde ! Le capitaine à Platypulus - Viens ! Et ils plongent dans les profondeurs marines pour rejoindre un volcan marin. Une armée de Nautiles les entraînant dans un tourbillon de vapeur. Les nautiles - Vous êtes en état d'arrestation ! Le Capitaine - Pourquoi ? Les nautiles - Vous le saurez quand vous comparaitrez devant notre chef Dark Trilobite. Dark Trilobite était tout vieux, au moins 380 millions d'années. Sa date de naissance c'était l'ère du dévonien, quand il y avait plus d'animaux dans la mer que sur terre. Il avait été gentil dans sa jeunesse, mais un coup d'astéroïde sur la gueule l'avait rendu méchant, irascible, maudit pour l’éternité. Comme il n'avait plus de repos, il était devenu un chef cruel. Dark Trilobite - Tu as détruit la roche sacrée de l'île de Lifou tu as brisé notre tabou : tu seras puni de la façon que voici, façon tripartite : touche l'un de mes trois lobes gluants - c'est de là que me vient le nom de trilobite - et tu choisiras toi même selon le hasard la malédiction qui te frappe : maladie mentale, maladie physique, handicap Le Capitaine enfonçant son doigt dans le lobe de gauche - Beuh, c'est gluant et tout mou ! Dark trilobite - Une chance pour toi, c'est le handicap que tu subiras, il en existe un millier que amoindrissent chaque jour ton voisin mes trois lobes t'en proposent quelques uns : paraplégie, amputation, nanisme, tu choisiras ! Le Capitiane enfonçant son doigt dans le lobe du milieu - Beuh, c'est gluant et tout mou ! Dark trilobite - C'est le mieux pour toi, tu seras nain, plus petit que mon pouce, tu seras le maillon faible, un petit mousse ! Platypulus - Non, pas ça à mon capitaine ! Mon gentil capitaine, si gentil ! Platypulus attendrira-t-il Dark trilobite par son regard magique ? Les nautiles - Quel suspens ! Dark Trilobite - Pas de chance, cela ne sers à rien que tu zieute, monotrême ridicule
ta magie s'annule
les ans m'ont rendu aveugle ! Tandis que Platypulus se lamentait, le capitaine rétrécissait. Par fortune, Dark trilobite vieux et aveugle, n'eût pas le loisir de parachever son oeuvre, et le capitaine tout petit petit qu'il était devenu restait parfaitement proportionné et séduisant. Platypulus - Dark Trilobite, comme j'ai échoué à sauver mon ami du sort terrible veille à me faire partager sa destiné à part égale ! Dark Trilobite Minus, tu veux une méchanceté entière ? J'exècre les anges de lumière ! non seulement tu rétrécieras
mais ton arme, ton regard loquace,
aussi doux soit-il, il sera inefficace tel est mon sortilège, petit rat ! Quant à toi, capitaine-massue,
maintenant que te voilà tout menu ton nom sera désormais Capitano et ta massue une brindille, je sais c'est pas beau,
je t'étrille !
j'en ris, j'en ris très gras
tel est mon sortilège, ingrat ! Les nautiles - Fuyez ! Notre chef lance contre vous une attaque de moustique ! Platypulus - Cachons nous dans la mangrove ! Un tricot rayé, voyant le Capitano - Que cet écrevisse bleue me semble appétissante Un bernard l'hermite, voyant Platypulus - Mon bébé ! Une étoile de mer brune et baudruchée, voyant le capitaine - Je ferrais bien mon époux de ce craquant Capitano Une étoile de mer bleue électrique - Ah non ! mégère, il est à moi ! tu veux toujours tout me prendre : tu vois bien qu'il a la même couleur que moi ! (s'adressant au Capitano) Mon beau ! nous sommes fait l'un pour l'autre ! Une troisième d'une autre couleur - Tu verras quand je l'aurais enserré dans mes bras en peau de doudou Le Capitano - Je vous assome toutes de ma massue ! Un Kanak -Aïe mon doigt est coinçé... Merci petit homme ! tu m'as sauvé de la marée montante Le capitano - De rien ! Les moustiques - Bzzz, Capitano repéré quatrième mangrove à gauche à l'attaque Mais comment vont-ils s'en sortir ? Les petites étoiles de mer couleur sable en parlant lentement - Nous, on va leur apprendre l'art de se camouffler lentement dans le sable il suffit de se blottir dans les milliers de traces qu'on a laissé jusqu'à l'horizon couchant personne n'y distingue plus rien qu'une mosaïque d'étoiles et la mer et le ciel prolongent les étoiles.
Platypulus & le Capitano - Merci bonnes fées ! Les moustiques - Bzz, où sont-ils maintenant ? Platypulus au Capitano - Là, une demi noix de coco échouée, ce sera notre radeau ! Et voilà comment le capitano à toute vitesse s'enfuit de l'île en compagnie de Platypulus, ramant de ses petits biscotos dans une noix de coco Les moustiques - Mission échouée. Ouff ! mais que de danger pour un si petit bonhomme !
FIN DE LA PREMIERE AVENTURE, COMMENCEMENT DE LA DEUXIEME.
Voilà qu'au milieu de l'océan un requin marteau rencontra le capitano et platypulus. C'était un sage et non pas un vaurien, le capitaine n'eut pas à se servir de sa massue, et c'était d'ailleurs une chance qu'il n'eût pas rencontré les méchants requins qui pullulent de par tout le pacifique dans la petitesse où il se trouvait. Le Capitano - Ah si j'étais fort et grand, j'aurais là un adversaire remarquable ! Le Requin Marteau - De par tout le pacifique pullulent les méchants et de par toutes les armes il faut lutter pour survivre, une chance que minus comme tu es, c'est sur moi que tu tombes, j'ai à te dire ton avenir mais considère tout d'abord que tu ne dois plus chercher à frapper inconsidéremement et réfléchi mieux sur la manière de tes capacités Le Capitano - Parle vieux sage Le Requin Marteau - Soit : tu retrouveras ta taille adulte, ta force surhumaine, ce jour où tu rencontreras la communauté d'animaux animée par le seul sentiment de l'amour. Vas ton chemin, ai confiance, apprends à te maîtriser toi-même. Il dit, et drappé dans la dignité de son nez monumental, il tourna le dos pour s'en aller Quand ils arrivèrent sur la terre ferme à force de ramer dans leur frèle embarcation, voici qu'un oiseau gris au plumage arrogant les reçus farouchement. Le Kagou ouvrant très grande sa huppe pour impresionner - Qui êtes vous pour venir envahir mon pays ? je le défendrais, dussé-je périr, les Kagous sont ainsi, ils vont jusqu'au bout Le Capitano -Tu es fier comme artaban moi je suis vaillant Le capitaine pris un coquillage et s'en servit comme épée pour escrimer avec le bec de l'oiseau. Le combat fut acharné toute une heure, il n'y eut pas de gagnant. Fatigués les deux adversaires s'écroulèrent, ils s'assirent l'un à côté de l'autre, et le Capitano poussant machinalement des cailloux dit : Le Capitano - Il n'y aurait pas du danger par hasard ici ? Le Kagou - Ouh mon bon Monsieur, moi je ne vous le dis pas ! je ne vous dis pas qu'il n'y a pas des requins partout ! on est dans le pacifique ! d'ailleurs, si vous me le permettez, je vais vous racconter une petite anecdote : avec ma fille on est allé cueillir les coquillages sur la grande barrière, ils y son très gros, mais moi qui suis un fils du pays pourtant je n'osais pas aller au delà de la patte dans l'eau ! vous voyez pas que je me fasse manger moi ! dernièrement on a vu une touriste se baigner là où vous êtes et elle s'est faite dévorer : je ne vous dis pas qu'elle a respecter les tabous ou pas, je ne suis pas du genre à y croire, mais il faut respecter, on sait jamais ! Non mon bon Monsieur, je ne vous dis pas qu'il n'y a pas de danger ! Le Capitano - Et sur terre, il y a du danger ? Le Kagou - Ouh mon bon Monsieur, moi je ne vous le dis pas ! d'ailleurs, si vous me le permettez je vaus vous raconter une toute petite anecdote.... Le Capitano - Je préfère avoir la surprise ! Le Kagou - Tu es brave mon bon Monsieur ! alors je te laisse le passage et serai-là un jour pour t'aider Et le Kagou s'en alla. Capitano arriva à Boulouparis, ville du troisième millénaire, une grande banderole annonçait la fête du cerf, de la crevette, de l’écrevice et du petit poussin. Le Capitano Platypulus, regarde, c'est certainement eux la communauté douce qui me rendra ma taille, un poussin c'est tout plein d'amour ! Platypulus - Du pain marmitte ! j'ai faim, si faim, faim ! Le Capitano - On cuit des saucisses ! malheureusement elles sont trop grosses pour moi !
Platypulus - hum du bon bougna ! Miam c'est bon tous ses féculents ! Le Capitano - Fais gaffe, vlà un acarien qui te pique ton igname ! Alors au milieu de la fête, acclamé de tous, surgit le poussin. Il avait un casque de mineur sur la tête, et l'on voyait bien que c'était lui le chef, qu'il dominait le groupe. Il dit : Poussical examinant le Capitano -Mâtez moi ce minus Tâtez un peu ses muscles ouvrez lui la bouche que je vois si ses dents sont en bonne santé c'est signe de résistance. Ok, ça me convient, Cerf emprisonne le dans tes branches c'est ta nouvelle maison, Minus : désormais tu piocheras le sol pour extraire du nickel à mon compte, je compte bien avoir plus de rendement avec toi qu'avec ces fénéantes de crevettes et écrevices. Le Cerf - Bravo Poussical, foi de Cerf, t'as fait un bon coup ! T'es le plus fort ! Poussical - Mouais, je m'aime trop ! Mais m'appelle pas Poussical, appelle moi Chef ! Le Cerf - Je t'admire chef Poussical - Cause pas quand on t'demande rien Ecoutez moi tous je suis trop fort ! Qui c'est qui a le plus gros 4x4 ? c'est moi ! qui c'est qui fait du tunning le plus fort le dimanche ! c'est moi ! Le Cerf - C'est toi qui a les plus grosses baffles ! Je t'amire chef ! Poussical - Mouais, combien de fois je te le répète ? cause pas quand on t'demande rien. Et c'est encore moi qui tiens ce minus costaud comme esclave maintenant j'm'aime trop ! Et Voilà Capitano qui se retrouve esclave mineur à fouiller la terre rouge pour ce vilain capitaliste de Poussical dont l'entreprise prospère sur le dos des autres. Le capitano dans sa prison chuchotant à platypulus Piu, più ! Platypulus non Più piu ! t'as pas d'oreille ? Le capitano soupirant Je suis fatigué ! tous les jours il me conduit assis sur son coussin, vindicatif, agressif, et toujours cette zic à fond dans la voiture : du rap ! et les cornes de ce cerf qui dors tout le temps et qui m'emprisonnent ! et tout ce nickel vert et cette terre, je suis tout rouge ! Platypulus Tout violet puisque la peau bleu plus le rouge ça fait de l'indigo Le capitano` C'est pas le moment de faire de l'esprit Platypulus Quelqu'un vient, je fuis, je reviens tout à l'heure ! L'une écrevisse Rappe-moi un peu le dos avec ta mandibule, je suis toute mouillée ! L'autre écrevisse Oh oui ! je te grappe toutes tes pattes ! L'une écrevisse Hihihih ! L'autre écrevisse Tu crains les chatouilles ! L'un écrevisse Oui comme le chef ! hihihihi ! ça le déconcentre, mais chut il faut pas le dire ! L'autre écrevisse Il aime pas avoir des défaut, giligli ! Le Capitano Bah ! Tu m'as bavé dessus Tu peux pas dormir la bouche fermée le Cerf ! Les écrevisses On parle ! fuyons Platypulus Più piu ! Le Capitano Più piu ! Platypulus Bravo, tu es au point Le Capitano Et mes yeux sont assez doux maintenant Platypulus T'enseigner n'était pas un mince affaire, mais je crois que tes yeux sont capables d'amollir les plus coriaces méchants désormais. Mais chut ! il ne faut pas que le cerf nous entende ! Le Capitano Alors c'est pour demain Platypulus Le problème c'est qu'il ne regarde personne. Même si tu piupute bien et lui fait croire à quelque possine, comme lui faire croiser ton regard ? Le Capitano Les deux écrevisse de tout à l'heure m'ont donné la solution, il suffitde le chatouiller ! Platypulus Feu vert pour demain donc ! Dans le cul de la baleine ! Le Capitano Qu'elle en crève ! Platypulus Dès que tes yeux le fixerons, ses yeux se ramolliront que votre entrevue soit effectivement une entrevue ! tu l'auras ! Le Choeur Et le matin Capitano Più piu ! Poussical attiré par le leurre Piu più ? Capitano Giligili Poussical hihihi ! Le Coryphée Et comme un petit poussin est avant out un enfant : Poussical Je veux ma maman Le Choeur Il l'avait en effet délaissée dès sa naissance pour faire du commerce Le Choryphée Libéré spontanément de son esclavage, le Cerf redressa sa tête pour retourner à ses paturages Le Cerf Ouf, on ne me mangera pas dans cette histoire ! Le Choryphée les crevettes et les écrevisses retournèrent à l'océan Le Choeur Et la ville de Boulouparis est fière de ce jour de fêter cet événement chaque année.
1 commentaire:
Crocodile : Peace and love
Pussical : Cause pas quand on t'demande rien
Bravo, Cédric !
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