vendredi 20 juin 2008

les aventures du capitano vert émeraude et de l'ornythorinc





Il était un capitaine de bateau tout bleu qui était particulièrement grand, avait les épaules carrées et les poumons puissants, il était fin costaud et fin musclé, son visage exprimait la gravité, la virilité, la puissance taillée au couteau mais quiconque regardait au plus profond de ses yeux vert d’eau pouvait y lire la pureté, l’innocence, l’amour. Or sa plus fameuse particularité était une peau bleue qui en bronzant pouvait revêtir une teinte émeraude. Il avait aussi une grande, large et épaisse massue dont il se servait pour quelque action de héros, de guerrier, de justicier, car il était doté d’une force surhumaine, aveugle et brutale.



Comment le capitaine s'en va t'en piraterie.


Or il était maladroit au début de ses exploits, cela venait qu’il fut longtemps matelot mousse chez les pirates et qu’on lui fit une éducation rugueuse tout en l’y couvant comme un petit poussin : le chef l’avait adopté, l’ayant recueillit au bord de l’écume de la nageoire de quelque poisson chirurgien. Un jour son père adoptif lui dit :

« Va pirater de par le monde : avec tous ces biscotos que tu as, cela ne sera pas difficile ».

Et le capitaine-massue de prendre son petit bateau et de foncer cahin caha sur le yacht d’un milliardaire anglais.

« Je viens vous pirater... »
« Maman ! il y a un gros monsieur bleu sur le ponton ! »

« Oouh chérie apportez moi l’appareil photo ! »
« Cher Monsieur, prenez tout ce que vous voulez, mais accepteriez-vous de poser pour la photo avec nous ? »

Et le Capitaine de déployer une grande colère, de dévaster tout le bateau d’un coup de massue . Aussitôt l'enfant se mit à pleurer !

« Papa, il ne veut pas la photo le gros monsieur bleu ! »

Et il ne s’arrêtait plus de pleurer, le capitaine voulait le serrer dans ses bras pour le calmer mais cela était pire en matière de résultat.

« Vous voyez monsieur ce n’est pas gentleman de faire peur aux gens ! il ne faut pas s'adonner à de vilaines choses !



"Je vous promets de ne plus faire le pirate !" répondit le capitaine ne sachant comment consoler l'enfant qui dit tout d'un coup :



"alors on la prend la photo ? "



Notre musclor bleu comprit à cet instant qu’il n’était pas fait pour la piraterie. Après la photo, maladroit comme il était, cherchant à sauver le navire dévasté, il le fit échouer sur le massif de corail et ramassa les plus beaux coquillages en compagnie du petit enfant puisque chacun sait que c'est là qu'ils sont, au bord de la barrière. Une journée inoubliable pour nos anglais tout joyeux sans soucis du prix du bateau perdu.



Comment le capitaine, rencontrant un compagnon inattendu, se fâcha immodérément.



S'il ne pouvait être pirate, allons donc pour grand héros ! prenez garde requins, poissons venimeux et méduses tueuses !


Un jour qu’il plongeait dans l’eau il sentit sa massue toute lourde :



"Qu'est-ce donc qui s'agrippe ? je verrai ça tout à l'heure ! Mais que vois-je à l'horizon, un crocodile : je vais l'assommer comme un trophée !



Il lève sa massue, va pour frapper, mais à la place de la massue (et c'était cela le poids) notre capitaine brandissait un ornithorynque qui s'appelait Platypulus et qui avait un regard si doux, si doux, ah ! si doux...



"J'ai le coeur attendris, suis-je un crocodile ?

un moineau ? j'ai du coton dans les dents !

Comme mon coeur est gros et grand !

j'ai les larmes qui me montent et je me fais de la bile !



Et le crocodile pleure, pleure, ah pleure ! c'est sa nature profonde, et le crocodile retourne sagement à l'eau sans essuyer de coup violent, aucun ! sans lutte, dans l'amour et la paix.



"Peace and love" dit le crocodile



Le Capitaine qui était colérique ne trouvait point cette aventure de son goût :



"Comment moi ne pas frapper

ne pas combattre, ne pas abattre !

un canard me vole ma proie !

au lieu de gloire, on ira clamer ma honte !

Va-t-en vile bête, n'ose plus devant moi

montrer une tête immonde !



Et d'un violent coup de pied, il jette loin de lui l'animal étrange, l'ornythorynque (c'est lui qui a un bec de canard même si c'est un mammifère primitif), et marchant d'un pas agacé, capitaine-massue s'éloigne vivement, tandis que le doux mammifère primitif, tel un destin, le suit tout de même, les yeux remplis d'amour. Le capitaine marchait tant et tant, naviguait tout autant et tomba sur une île paradisiaque. Les cocotiers lui chantaient ce joli refrain



"j'ai faim, je veux manger de la banane

j'ai soif, je veux boire du lait coco ! "



C'était une chanson à la mode. Le ciel était bleu, la mer émeraude, c'était là une invitation à s'endormir dans le pur bonheur. Mais le capitaine avait toujours en lui cet énervement d'autant qu'il était ereinté sous le soleil frappant, au milieu du sable, quelle chaleur ! il se retourna et vit bien que l'ornythorynque le suivait toujours



"Mais lâche moi les tongues !"



Le mammifère primitif le regardait encore plus triste encore plus doux. Alors ce fut la crise de nerf, un malheureux rocher en fit les frais, pulvérisé sous la massue du Capitaine !



Toujours là, l'animal gonosomé dispendait toujours son regard pur ; fatigué, le capitaine s'était assis sur la plage, il voyait bien que désormais il n'y avait plus rien à faire pour se débarrasser de ce joli petit monotrème. Mais des pas étranges attirent soudain leurs attentions, un troupeau de fantôme de dinosaures passe là sur la plage, laissant des empruntes belles jusqu'au plus lointain de la perpective. Puis voici des poissons coureurs qui vont dans tous les sens à trois cent kilomètres heure. "Prenez garde" sifflent-ils.



Sentant un danger qui pourrait lui permettre tout exploit, notre Capitaine Massue dit à Platypulus :



"viens !"



Et il plonge dans les profondeurs marines pour rejoindre un volcan marin. C'est alors qu'une armée de Nautiles l'environne et l'entraîne dans un tourbillon de vapeur jusqu'au chef de la tribu : Dark Trilobite.



Dark Trilobite était tout vieux, au moins 380 millions d'années. Sa date de naissance c'était l'ère du dévonien, quand il y avait plus d'animaux dans la mer que sur terre. Il avait été gentil dans sa jeunesse, mais un coup d'astéroïde sur la gueule l'avait rendu méchant, irascible, maudit pour l’éternité. Comme il n'avait plus de repos, il était devenu un chef cruel.



Comment le Capitaine fut châtié par Dark Trilobite



"Tu as détruit la roche sacrée de l'île de Lifou

tu as brisé notre tabou :

tu seras puni de la façon que voici, façon tripartite :

touche l'un de mes trois lobes gluants - c'est de là que me vient le nom de trilobite -

et tu choisiras toi même selon le hasard la malédiction qui te frappe :

maladie mentale, maladie physique, handicap"



Le gros doigt du capitaine s'enfonça dans le lobe de gauche



"Une chance pour toi, c'est le handicap que tu subiras,

il en existe un millier que amoindrissent chaque jour ton voisin

mes trois lobes t'en proposent quelques uns :

paraplégie, amputation, nanisme, tu choisiras"



Le gros doigt du capitaine s'enfonça dans le lobe du milieu



"C'est le mieux pour toi, tu seras nain, plus petit que mon pouce,

tu seras le maillon faible, un petit mousse !"



"Non, pas ça à mon capitaine" lança Platypulus qui aussitôt sorti son arme des yeux doux pour combattre Dark Trilobite, en vain car l'âge l'avait rendu aveugle et l'action passa inaperçue. Tandis que Platypulus se lamentait, le capitaine rétrécissait. Par fortune, Dark trilobite vieux et aveugle, n'eût pas le loisir de parachever son oeuvre, et le capitaine tout petit petit qu'il était devenu restait parfaitement proportionné et séduisant. Alors Platypulus pris la parole :



"Dark Trilobite, comme j'ai échoué à sauver mon ami du sort terrible

veille à me faire partager sa destiné à part égale !"



"Platypulus, je ferais pire encore pour toi,

car j'exècre les anges de lumière !

non seulement tu rétrécieras mais ton arme,

ton regard, aussi doux soit-il sera inefficace

tel est mon sortilège !

Quant à toi, capitaine-massue,

ton nom sera désormais Capitano

et ta massue une brindille,

tel est mon sortilège !"



Quelle fut la vaillance microscopique de Capitano



"fuyez" disent les nautiles "Notre chef lance contre vous une attaque de moustique".

"cachons nous dans la mangrove" dit Platypulus

"que cette écrevisse bleue semble appetissante" dit un tricot rayé

"mon bébé !" dit un Bernard l'hermite

"que je ferais bien mon époux de ce capitano" dit une étoile de mer brune et baudruchée

"Il est à moi ! tu vois que nous sommes fait l'un pour l'autre à cause de la couleur ! dit une étoile de mer bleue électrique

je l'enserre dans mes bras en peau de doudou" dit sa consoeur

"je vous assomme toute de ma massue" répondit le capitaine

"merci de m'avoir dégagé le doigt coincé dans la mangrove, tu m'as sauvé de la marée montante" dit un pêcheur kanak

"toujours les moustiques reviennent à la charge !" s'effraye Platypulus

"venez à nous, disent les petites étoiles de mer couleur de sable, apprenez l'art de se camouffler lentement dans le sable, ils ne vous verront plus"

"Il suffit de vous blottir dans la trace que j'ai laissée, il y en a un millier identiques"

"là au loin, platy ! échouée, une noix de coco brisée, ce sera notre radeau"



Et voilà comment le capitano a toute vitesse s'enfuit de l'île en compagnie de Platypulus, naviguant dans une noix de coco.



Où l'on raconte la prophétie du requin marteau



Voilà qu'au milieu de l'océan un requin marteau rencontra le capitaine, c'était un sage et non pas un vaurien, le capitaine n'eut pas à se servir de sa massue, et c'était d'ailleurs une chance qu'il n'eût pas rencontré les méchants requins qui pullulent de par tout le pacifique dans la petitesse où il se trouvait.



"ah si j'étais fort et grand, j'aurais là un adversaire remarquable"



" De par tout le pacifique pullulent les méchants et de par toutes les armes il faut lutter pour survivre, une chance que minus comme tu es, c'est sur moi que tu tombe, j'ai à te dire ton avenir. Pour l'heure ne cherche plus à frapper inconsidéremement et réfléchi mieux sur la manière de tes capacités"



"parle vieux sage"



"soit : tu retrouveras ta taille adulte, ta force surhumaine, ce jour où tu rencontreras la communauté d'animaux animée par le seul sentiment de l'amour. Vas ton chemin, ai confiance, apprends à te maîtriser toi-même"



Il dit, et drappé dans la dignité de son nez monumental, il tourna le dos pour s'en aller



Ce qui arriva au Capitano en Nouvelle Calédonie



Quand ils arrivèrent sur la terre ferme à force de ramer dans leur frèle embarcation, voici qu'un oiseau gris au plumage arrogant les reçus farouchement.



Qui êtes vous pour venir envahir mon pays

je le défendrais, dussé-je périr

les Kagous sont ainsi, ils vont jusqu'au bout



et disant cela il ouvrit très grande sa huppe et ses ailes pour impressionner le capitaine



Tu es fier comme artaban

moi je suis vaillant



Le capitaine pris un coquillage et s'en servit comme épée pour escrimer avec le bec de l'oiseau. Le combat fut acharné toute une heure, il n'y eut pas de gagnant, fatigués les deux adversaires s'écroulèrent, ils s'assirent l'un à côté de l'autre, et tandis que Capitano poussait machinalement des cailloux, l'oiseau arrogant lui dit :



Tu es brave,

je te laisse le passage

et serais-là un jour pour t'aider



Et le Kagou s'en alla. Capitano arriva à Boulouparis, ville du troisième millénaire, une grande banderole annonçait la fête du cerf, de la crevette, de l’écrevice et du petit poussin.



"Platypulus, regarde, c'est certainement eux la communauté douce qui me rendra ma taille, un poussin c'est tout plein d'amour !"



La fète battait son plein, on mangeait du pain marmitte et on cuisait des saucisses qu'on mangeait avec de l'igname, d'autres mangeaient du bougna, miam c'était bon tous ses féculents ! Le capitaine mangea de bon appétit une miette de tarot et platypulus du se battre contre un acarien pour avoir la sienne.



Alors au milieu de la fête, acclamé de tous, surgit le poussin. Il avait un casque de mineur sur la tête, et l'on voyait bien que c'était lui le chef, qu'il dominait le groupe. Il dit



"Mâtez moi ce minus

Tâtez un peu ses muscles

ouvrez lui la bouche que je vois si ses dents sont en bonne santé

c'est signe de résistance.

Ok, ça me convient, Cerf emprisonne le dans tes branches

c'est ta nouvelle maison, Minus : désormais tu piocheras le sol pour extraire du nickel à mon compte,

je compte bien avoir plus de rendement avec toi qu'avec ces fénéantes de crevettes et écrevices."



"Bravo Poussical, foi de Cerf, t'as fait un bon coup ! T'es le plus fort !"



" Mouais, je m'aime trop ! Mais m'appelle pas Poussical, appelle moi Chef !"



Et Voilà Capitano qui se retrouve esclave mineur à fouiller la terre rouge pour ce vilain capitaliste de Poussical dont l'entreprise prospère sur le dos des autres. Son grand plaisir, le dimanche c'est de faire du tunning avec son 4x4 le plus fort possible avec de grandes baffles. Dans la semaine il conduit le capitano enchaîné à l'extraction de Nickel, il conduit assis sur un coussin, vindicatif, agressif, toujours la musique à fond dans la voiture, du rap.



Un soir que le capitaine se lamentait dans sa prison de corne de cerf, deux écrevisses crurent trouver là un coin isolé pour se mettre à chuchoter



- Rappe-moi un peu le dos avec ta mandibule, je suis toute mouillée !



etc.









"Platypulus, est-ce que mes yeux sont assez doux maintenant"

"Oui, mes leçons ont été laborieuses mais chut ! il ne faut pas que le cerf nous entende

c'est pour demain matin, aussitôt que poussical vient te chercher, demande lui une entrevue, et prends bien soin que cette entrevue soit effectivement une entrevue, qu'ainsi ses yeux te fixent bien, tu l'auras, il se ramollira"



Et le matin



" Chef !"

"je n'ai pas le temps"

"deux secondes !"


Mais sitôt que le regard de Poussical croisa les yeux du capitaine, voilà t il pas que la magie surgit et que Poussical se transforme en petit poussin tout doux, tout affectueux, et comme un petit poussin est avant tout un enfant, son premier soin et de retourner voir sa maman qu'il avait délaissé lui-même dès sa naissance. Libéré spontanément de son esclavage, le Cerf redressa sa tête pour retourner à ses paturages, les crevettes et les écrevisses retournèrent à l'océan et la ville de Boullouparis est fière de ce jour de fêter cet événement chaque année.



Comment Capitano fut la proie des services secrets australiens



Quand il débarqua sur un nouveau rivage de sa noix de coco, et quel rivage, immense et effrayant, des plages se perdant à l'horizon battues par un océan menaçant et profond qui n'avait pas le temps de s'attarder à laisser croître les coraux - quand il eut bien marché jusque dans les terres, là dans une forêt d'eucalyptus, des êtres étranges le regardaient à l'envers. Ils avaient des oreilles de nounours et comme des bec de perroquet. Le capitano eu peur quand il le saisirent dans leur grosses papattes, il était si petit, et platypulus encore plus ! Mais eux lui firent des calins tout baveux, c'était une terrible épreuve, cela le dégoutait. Chacun à tout de rôle : et ils étaient plus de cent" le serraient contre leur coeur tout chaud. D'une étreinte à l'autre il était déjà plus attendri, chaque fois, il se sentait grandir, devenir plus fort, plus rempli de sécurité, bientôt il fut vaincu par la sensation de bien être, la foi en la vie, l'amour. Quand il sortit de cet état second, il avait repris sa taille normal, l'enchantement de Dark Trilobite était détruit. Alors il se rappella la prophétie ! Mais oui ! La communauté pleine d'amour, c'était les Koalas ! Quand on est avec eux, n'est-il pas vrai que le monde peut assassiner des dictateurs, affamer des peuples, la paix intemporelle nous environne, c'est leur appanage, c'est leur rythme !



Comment j'ai fait pour retrouver ma taille, dis Platy ?

Quand le coeur grandit et devient paternel, le corps grandit et devient adulte

Viens que je t'embrasse mon petit monotrème adoré !



Et Capitano voulait embrasser tout le monde dans la forêt, même le diable de Tasmanie, il faut dire que ce monstre brouilleur d'os, semble tout pateau et gentil au premier regard : le combat intrépide au corps à corps avec ce monstre dépourvu de sentiments et par là fermé à la compréhension de la notion de calin, combat qui scella la réputation mondiale d'intrépide héros de notre Capitano, est bien là pour nous enseigner qu'il faut savoir reconnaître ses amis. Tous les animaux en firent aussitôt l'écho si bien qu'à Sydney ont été déjà au courant des exploits du capitaine. Or il se trouva que les services secret australiens s'exclamèrent



" Ce héros possède une force physique de tout premier plan

mais encore il allie à cet attout une force morale appréciable :

apte à amadouer le crododile avec un un regard tendre

apte à ramollir la peau d'un varan par une étreinte douce.

Il nous faut le capturer et lui donner une fonction défensive pour l'état !"



Mais que réservent-ils donc à notre pauvre capitaine, encore une fois victime de lui-même ? Le voilà dans les filets des agents de l'état et dans sa cellule il s'inquiète.



Comment Capitano devint un ranger.



"Mon nom est Madame Pince-teni et je serai votre tutrice dans votre formation,

je suis très sévère en matière de rigueur, vous avez intérêt à travailler. Votre mission est avant tout humanitaire, vous devez enseigner le chemin grâce au blé des livres et faire fructifier le terreau de vos élèves, vous devez être à l'écoute et forcer le silence par la qualité de votre contenu, la structure de votre méthode, c'est à ce prix que vous obtiendrez votre diplôme de ranger"



"Oui Madame"



Cette Madame Pince-teni était un crabe de mer, elle avait eut une grande promotion financière à ne plus s'occuper des pinguoins mais à faire profiter de son expérience les nouveaux rangers, elle était même le chef de toute une bande de crabe de mer qui former l'Institut Universitaire de Formation des Pingouin Rangers (IUFPR). C'est en effet une tâche très délicate d'orchestrer la Great Pinguoin Parade, les pinguoins-manchots étant des petits être trés craintifs et capricieux, il faut leur apprendre à bien se tenir. La Great Pinguoin Parade était un spectacle trés lucratif sur l'île de Philippe, toute une industrie s'est développé autour d'elle. Les parents et les enfants achètent de bon pop corns pour regarder le spectacle, s'installent sur des gradins lorsque le soir tombe. Là, revenant de leurs activités en mer, les pinguoins sortent de l'eau sur la plage et commencent un long chemin en silence de plusieurs kilomêtres pour rentrer dans leurs tanières.





Le capitaine est kidnappé par les force des service secret de l’australie qui lui infligent une formation pour devenir Pingouin ranger, la formation est dure, on parle du terreau des élèves, du blé des livre, d’autocrityique de sequence pédagogique, et tout cela pour jnuste veillere à ce que les pinguoin ne soit pas déranger dans leur parade. Chevronné il trouve dans les stand de vented u public perdu dans la rue et pleurantg un petit pinguoin qui est rejeté par les autres, ce pinguoin lui raconte qu’avec son frère ils ont mis les habits du dimanche pour aller à l’opéra à Sydney, c’était le r^ve de leur vie d’applaudir un opera, juste d’applaudir. Maisd son frère a été écrasé sur la route et lui n’a plus eu lke courager de passer. Alors le capitaine l’ammne sur ses gros bras muscles à l’opéra, et il peut assistre rà une representation de la petite renarde rusée de Jancek. Après la representation ils s’attaredent et vont dans les coulissers, là il y a une audition oùm postulent l’autruche, le wambat et le Kukabora. L’autruche chante mais elle met sat ête dans le trou, le Wambat a peur, il a le stress il n’arrive pas à chanter, le Kukaboura emerveille, il est vainqueur., il est très snob et veux qu’on lui parlke en anglais ave cl’accent français parce que pour lhui les français sont trop mauvais pour bien prononcer en faisant l’effort de l’accent anglais On donne une seconde chance au >Wambat quii chante l’air à la mode “j’ai faim je veux manger de la banane, j’ai soif je veux boire du lait coco” et tout le monde rit, c’est l’humiliation. On propose de l’emprisonner au zoo. Pinguoin et capitano lui viennent en secours et porte avec lui chez son papa et sa maman, sur le chemin, capitano achete avec sobn salair en air de Mozart pour le Wambat, dans le magasinils rencontre un grand professeur de chant Armande Altaï qui luii propose de luir endre visite chez lui, un destin ?

A la grande parade des pinguoin PlatypulLus éternue, ce qui est formellement interdit, on l’emprisonne à vie dans un bagne, Capitano furieux fait sauter les banc des spectateur et deliver platypulus, la police austyralienne le poursuit, le capitaine s’enfuira en sautant du massif cortalien avec une perche fait en bois de cocotier, se spieds carresse les épines des pins et il tombe sur des lichens qui lui dissent que les cocotiers leur on recommendé la douceur pour lui.

Le capitaine doit quitter paltypulus car il a retrouvé son troupeau de smarais, pleurs de platypulus, scène d’émotion

Le capitano malheureux se jette au fond de la mer, il rencontre à nouveau Dark Trilobite mais depuis qu’il a appris les calins avec les coal ail lui fait un calin, dark trilobite redeviens toàut petit et gentil il rermerci le capitaine car il lui donne la délivrance et le droit enfin de mourir. Le capitaine tenu pa rla main par le spoissons sort la tête de l’eau, un triton fait son éloge glorieuse.

Le capitaine rentre par le trou dans le monde de smorts et rencontre les lézarts qui lui dissent comment devenir sage, ilse retrouvera devant le grand pin colonnaire qui s’appelle endémique et qui le fera entré dans la case pour la tradition, là les pins colonnairtes lui feront un discours, un échange, et le chef, l’igame (don’t la femme est le tarot) lui demandera s’il veut avoir la peau blanc he ou noire, il decide d’aovir la peau café au lait et retrouve ainsi son papa et sa maman, et madme tarot l’amène au fond de la mer par la roche percé où il retoruve tous ses amis poru jouer au ballon, platypulus l’embrasse, wambat est devenu un grand chanteur, pinguoin un critique musical, les étoiles et les siren accombagnent le chant de wambat, Poussical est devenu un bienfaiteur d ela cause des crevette, etc.


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