jeudi 14 avril 2022

Baptisés dans l'esprit, regard sur l'analyse de Michel Quesnel

En Ac 2,38 Pierre annonce aux témoins de la Pentecôte un baptême dont semble dépendre l'effusion de l'Esprit Au chapitre 8 lors de l'évangélisation de la Samarie, le même apôtre et Jean son compagnon complètent, par une impostion des mains, un baptême donné par Philippe dont l'Esprit Saint se trouvait absent Acte 10 44-48 : à Césarée, c'est l'Esprit saint qui prent l'initiative de tomber sur COrneille et les siens tout comme sur les disciples au jour de la pentecôte : Pierre ordonne alors leur baptême pour faire cesser une situation anormale dans laquelle is se trouvent,, de non baptîsés, habités par l'esprit Saint. (les événement s de Césarées sont précédé de 1c 8, 26-40, l'eunuque sur la route de Gaza et suivi de Ac 11, 19-26 les païens d'Antioche.) A Ephèse en Acte 19, 1-7 un double rite régularise la situation de disciples qui avaient reçu le baptême de Jean "au nom deu Seigneur Jésus" et on leur impose les maions pour que l'Esprit vienne sur eux EN critiquant les erreurs de ses prédécesseur Quesnel entend définir une méthode. Echappera-til aux ecceuil qu'il dénonce ? nous verrons que non sans pour autant se troper dans son analyse - Faise une exégèse désintéressée, ni idéologie, ni dogmatisme - bien distinguer les niveau d'analyse : rédaction, tradition, histoire - Pour l'étude rédactionnelle, essatyer de situer chapque passage étudié dans l'ensemble de l'oeuvre. - Interpréter saint Luc par saint Luc. - Pousser au maximum l'anayse littéraire. Etrude philologiques et prépositionnelle. SOn inventaire des textes et suivi de l'analyse de l'oeuvre du Baptiste dans laquel est souligné l'emploi actif du verbe. L'actif se retrouve en Lc 3 16, le christ dans l'esprit saint et pour Philippe à l'eunuque Ac8, 38 Le scinq attestations sotn une preuve d'un logion authentique. La reprise par le Christ lui meme réssuscité avant l'assention Ac 1, 56 et par Pierre Ac 11, 16 pousse à analyse : pour Luc le feu désigne non le feu du jugement mais les langues de Ac 2 3, ce n'es t)pas à la fin des tmeps qu'à lieu le bapteme dans l'Esprit et le feu. La manifestaiton est la Pentecote et son profongement sur COrneille à Césarée. Par le datif pour l'eau, et la préposition en pour l'esprit, Luc indique que le bapteme dans l'esprit Saint n'exclu pas le bapteme dnas l'eau, opposition inclusive. Le soin de situer aprés emprisonnement de Baptiste : faire diusparaitre Jean avant l'entrée en scène de Jésus. prédicaiton du baptême, le jour de la pentecôte il s'agit d'un baptê:mme d'eau désigné part le passif lié au repentir destiné à la rémission de spéchés Ce rite dépasse le baptême de Jean dont il tire ses origine. Le baptême de Luc emprunte le contenu à la tradition. Tradition et rédaction en acte 2, 38 tout est lucanien. Pour luc donc le bptême d'eau et baptême dans l'esprit sont é&troitement liés. Le baptème de corneille et des siens. Circonstances particuli_re. L'effusion de l'Esprit dans sa maison est un baptême dans l'Esprit Saint. Pierre décide un geste un baptême d'eau avec un verbe au passif associé au repentir associé à la rémission des péchés 39-43 précise que par sa résurreciton Jésus est juge des vivqnts et des morts. Ceux qui mettent leur confiance en lui obtiendront le pardon de spêchés. Comparaison avec Pierre pentecote 2 38 epi to onomati, en to onomati sont interchangeables Le rédacteur conçoit le bapteme d'eau et le baptême d'Esprit comme normalement liés. COnforme à la théomogie baptisme précisée à la pentecote de Saitn Luc ( c'est ausis rédactionnnel) Baptême et imposition des mains en samarie Ac 8, 12-17 Philippe es tun prélude à l'accueil de spaïens. Luc est lui même païen d'origine. Comme pour l'eunuque il n'es tqu'à l'origine ce Philippe et laisse la place à Pierre et Jean qui par priére et imposition de smain déclenchent l'effusion de l'ESPRIT; Or c'est ici qu'on a le baptême au nom du Seigeur jesus avec eis to onoma tou kyriop Iesou L'association de eis et du verbe baptizein n'erst pas limitée à saint Luc; saint Paul emplçoie également baptizein eis to onoma ou tout simplement baptiein eis Chrston Iesion eis ton thanatou autou Rm 6, 3. il s'agit d'un baptème d'eau

non forcément désigné par le passif baptizesthai

non lié au repentir

non destiné explicitement à la rémission des péchés

n'entraînant pas l'effusion de l'Esprit

luc témoigne u baptémes eis to onoma tou kyriou Iesou comme d'un geste qu'il connaît de la tradition chrétienne

Baptème et imposition des mains à Ephèse, celui des Johannites 19, 167

C'est ausis un baptème eis to onoma tou kyriou Ièsou non li" à la reception d l'Esprit Saint, assurée ensuite par une imposition des mains dont Paul est le Ministre, l'Esprit se manifeste : ils parlaient en langue et prohpétisaient. Ni rémissiooj des pécher, ni repentir.

Paul esi ti oun ebaptisthète ?

Eis to Ionnou baptisma

L'analyse de la rédaction s'avère d'un fond prélucanien
Baptême de Saul 9 17-18
une imposition des mains une guérison
une effusion de l'Esprit
un baptême
c'est la même inversion qu'à Césarée pour rtablir le baptème aprés l'"effusion du Saint Esprit
DONC
Jean - baptisme metanoias eis apheisn hamartiôn
en/epi tô onomati Ièsou Christou : metanoie, aphesis hamartiôn, baptizesthai en pneumati hagiô
eis to onoma tou kyriou Ièsou. Baptiszein ou baptizesthai. Greffé sur la branche apostolioque par voie latérale : Ananie, Philippe, Paul, des marginaux
Il y za en 22, 16 Sois purifié de tes pécher en invoquand son nom = en étant chrétien et n'est donc aps baptismale, c'est l'étape qui suis le baptème.
Au NOM DE :
en (ou epi) (to) onomati est trés courant dans la Spetante, les apocryphe juifs de langue grecque, le nom de DIeu ou de dieux, univers religieux njaudaïsme hellénique
en to onomati n'est pas attesté dans la litrtérature ni les papyri, ostraca et inscriptions profane
epi to onomati est rare en littérature, n'est pas technique
eis to onoma plus génitif absetn de Septante, écrit juifs héllénistiques. Iniexistant pratiquement en littératuire, trés attesté dans la langue populaire inscriptions ostraca papyri, c'est une formule d'appropriation de la langue commerciale au compte de pour le compte de
en to onomati ; s'accomplit avec nomination du nom de Jésus
eis to onomati ;: c'est le but du baptème, le baptisé savance dans lapaprtenance, la proximité à Jésus. Ce pourrait aussi être une formule d'appropriation, le baptisé est la propriété du Christ et toute sa personne doit en porter témoignage. Un mouvement qui impliquerait eis to einai en CHristo, aller vers le Christ Jésous afin de vivre en lui.
uesnel insiste sur le fait de ne pas tomber dans la reconstitution historique du comemnt était le baptème à l'époque, mais son intension. Le soens d'une locution s'éclaire par son origine mais le passage dans un nouveau contexte n'apporte pas toutes les connotations qu'elle avait dans le premier. Enfi Paul bazlance entrte eis et accusatif et eis to onoma et génétif
Au nom de dans le judaisme héllénique,;
Eis to onoma a une seule occurance blasphématoire : contre le nom divin.
La traduction du Pentateuque sisthématise epi (pour ke, be 'al), les psaume en pour toujours beshem
Pour les autres, en est plus fréquet dans les livres historiques, e^pi pour les oracles dans fgrans profète ou encore be est le plus souvent. Dans le livre des Chronique dâbar beshém YHWH est traduit parfois apr l'un parfois par l'autre. Interchangeable encore.
Apocryphe et pseudépigraphes m chose. Pour les écrits du judaisme héllénique Philon rien pour en, epi et eisd ! Jlavius Josèphe utilise ek onomatos pour une citation de citation. Ep onomati est utilisé pour un faux qsoi-disant écrite par Salomé (smais d'Antipater (sous le nom de Salomé). Antiquité 4, ( Moïse religieux ep onomati tou Theou ; c'est sur Dieu que le sujet fonde son agir.
Au nom de dans le judaïsme de langue sémitique. Comem il n'y apas de correspondance rigoureuse. Teste massorertiques Beshem a un sens instruemntal, utilisation instrumentale du nom dans les fomrule rituelle, prononce explicitement et en to onomati en serait héritier. mais le seuns de seule autorité est postérieuyr et de là subtitution.
Lershem est soirt atténué d'un accusatif, soit un sens final bait run temple pour le nom du seigneur, se mettre en marche poru le nom, en raison du nom
keshem est rare : comme le noim
Alshem se fopnder sur le nom de epi to onomati, fondement
Lema'an shem par égard pour son nom action de Dieu
L'évolution dans les targums : les emploi du mot nom se multipluen t à mesure qu'ona vance dans le temps et tout psécialement dans les milieux populaires. Expliuque les Actes?
Qumran se rapproche de massorétique., quant aux bol incantatoire c'est be et bio qui l(''emporte, les inscriptionsd donne beshem, les rituels mandéens aussi. En et epi cosserpondent au nuance hébraique instrumentale et causale
AU nom de dans la langue grecque du monde hellenistique
La koiné ignore l'expression, c'est le judaîsme hellenistique qui intro en onomati
epit tio onomati tinos n'est pas inconui, la lngue populaire emploie ep'onomatos seulo les papyri
mais on peut confirmer que l'expression vient surtout du mon rec judaique
eis onoma, dans le spapyri, les ostraca est nombreux transactions comemrciales dizaine de texte
c'est une constante indo européenne que ce glissement, comem la fides
milieu du commerce héllenique.
La tourn ue en to onomati vient du monde juif palestinien ou alexandrin, attesxté par la Septante, les apocrihes gerec et meme Josèphe. Beshem est suffisement stable dansels écrit jufdaismque massorétiques targums, Qumran, milieux baptistes pourq u'elle est pu etre transcrite en en to onomati dans le Nouveau Testament. Causal ou instrumental, son sens sugg_re que le Christ Jésus est à situer en deça du rite baptismale. PAR & POUR
Eis to onoima a une origine prtofane. Situe le seigneur en avant du rite, un rite vers lui qui mène à lui. obkjectif plutôt que cause. eis to einai en Christô. Donc pour devenir Chrétien. C'est important car l'eunuque est batisé pour devenir Chrétien, il est sur le chemin. Nous n'avons donc pas besoin de savoir quand l'Esprit Saint lui sera donné.
Recherche des titres CHristologiques
Ho kyrios Ièsous
Kyrios est un élément descultes à mystères orientaux, le culte impérail possédait ce titre. Le paganisme héllénistique aurait eu une influence indaignable. Paul utilise kyrioi 1 Co 8, 5-6. Il semble que ap l'analyse on toue chez Paul une trace de formule Jésus est Seigneur, Jésus Christ est Seigneur. Rm 10, 9 ; 1 CCO 12, 3 Ph 2, 11 homologein, exhomologein, homologie 1 cCO 12,n 3 legein selemnel.
On place Ph, 2 11 comem prépaulienne et Jesus-Crist comme expression qui faisait encore polépmique en milieu judeochretien quoique Jesous CHristos en nom propre douvle se trouve dans la bouche des apotre Ac 2 38; 4, 10...)
YHWH lu par kyrios dans Septante, mais déifier Jésus serait blasphématoire, tandis que préexistance du titre en milieu paganno-chrétien favorise l'attriburtion d'une commuine divinité à Jésus et au Dieu de la Septante.
Adon en phénicien-cananéen, Mârâ en arraméen sont encore plus courants devant unn nom de dieu oriental tel que Bal ou une divinité populaire locale, plus que le grec kyrios. Il ne sont jamais absolu, toujorus suivi du nom. On est loin du simple o kyrios, et de l'homologie Kyrios Ièsous est seigneur. Quelque chose dans le milieu pagano-chretien a du agir. C'est le Psaume 110 verset 1 Oracle de YHWH à mon Seigneur : Siège à ma droite. Eipen ho kyrios tô kyriô mou, messianique, trés tôt utilisé poru fomuler l'exaltaiton de Jésus. L'eqivalence entre Adôn ROi messianique et YHWH dans la traductions e retoure. Joel 3, 5 invoquer au nom de YHWH interprété par Jésus exalté dans la gloire. Maran-atha notre seifneir, viens Maran-atha le seigneur est venu, présent dans 1 CO 16 22, Mar consérevé en araméen dans un texte grec assure l'antériorité. On compare ausis sa traduction Seigneur jusqu'à ce qu'il vienne 1 Cor 11 26-27, la finale de l'apocaplypse Ap 22, 20-21, la Didaché 10, 6 Liuturgie et jugement sont des connotaitojns constantes et simuiltanées. Etre admis à célébrer c'est réunir les conditions pour. En sont exclus ceux qui n'y adhérent pas. Jésus semble appelé Seigneur que dans l'évocation de son retour eschatologique.
Aussi le milieu judéo-chrétien de langue grec avec ses ambivalence semble le plus favoravle à l'appelation. Cela n'exclu pasd que Mar et( adon dans milieu sémitique, et kyrios dans milieu païen
Dans le nouveau testament, l'expression est trés rare dans évangiles, dans la finale canonique de Mc 16, 19 Le Seigneur Jésuus fut enlevé, dans Lc 24, 3 le corps du Seigneur Jesus. La désignation de J"sus comme Seigneur est en liena cvec sa glorification. Ressurection.Jamais ce termee est pour la vie terestre en paralléle avec Mar, Adon, Rabbi traduit apr le vocatif kyrie.
MAtthieu, jEAN N4ONT RIEN; He 13, 20 et 1p 22, 20, 21 ont des formuile trés liturgiques. L"'expression n'est guère familière au milieu judéo-chrétien . La seconde EPITRE DE pIERRE ET L42PITRE DE jUDE SONT D42POQU8E TARDIVE ET PR2SXENTE UNE SYNTH7SE DUNE SEINGEUR JESUS CHRIST; ADDITIONNEL;
en REVANCHE CHEZ pAUL 90 occurences, dont telle quelle : 1 Co 11? 23. 16? 23. 2 Co 4? 14. 11? 31. Ep 1? 15. 1 Th 2? 15. 4, 2. 2 Th 1? 7; 2, 8; Phm 5.
Quand aux actes avec leur 17 occusrence il font témoignage conjoint avec paul pour le grand développement dans la communauté pagano-chrétienne.
Milieu judeo chretien de langue grecv assimilation. Homologie Jé"sus est Seigneir. Kyrios Iesous renvoyant à l'intronidation de Jésus comem messie royal par son exaltation. De l'affirmation de la foi on passe à tune titulature parlant de J"sus exalté. Malgré cette origine, c'est en mioleiue pagano-chrétien que l'expression a connu large diffusion. Si la polémique avec les kyrioi n'a pas créé le titre, elle l'a favorisé. Il avaient à affirmer le caractère unique de ce Kyrios en le rendant unique et absolu.
IESOUS CHRISTOS
de mishial terme juif, judeochristinisme.
Avant paul L'affirmation Jésus est messie n'est pas une homologie sûre. La déclaration de Pierre Dieu l'a fait kyrios et christos Ac 2, 36 est dans la polémique des juifs de Jerusalem. IL n'y a pas de trace chez Poaul de cette polémique de communauté judéo-crhrétiennes. N'entrons pas dans la porlémique, pré-pascale, primmitive ou plus tardive. Certains lient à la ressurection, d'autre à un titre apocalyptique. Christ est mort (1 CO 15, 3-5) et Dieu a ressuscité le Seigneur (seigneur étant attribu&é ) la suite de resurection exaltation) sont des synthé"tisation;
J Schmitt La communauté primitive, convaincue que J2sus était le Messie, appliquait néammoins cet attivut non pas au Ressuscité, qu'elle invoquait d'ailleurs comem le "Seigneur", mais à Jésus dans son mionistère terrestre et spécialement dans sonr ejet ou sa mort "pour nos péchés".
CHrist est mort 1 CO 8, 11 ; Ga 2, 21; 3, 13; Rm 5, 6; 14, 15
Seigneur pour resurection 1, Co 6, 14; 2 Co 4, 14; Rm 4, 24.
Puis transformation en cognomen. Cesrt le cas des témoignages externes, c'est lze cas de Paul.
Chez Paul le corps du Christ renvoie à la communauté Eglise 1 CO 12, 27, tandis que le corps du Seigneur à un pain consacré 1 COr 11? 27. C'est rare le Seigneur Christ Col 3, 24, douteux et Rm 16 18 ho kyrios hèmon Christos.
SecuindaPetri et Juide baignant dans uen admosphère juive, on constate que le temps apssant, segonde génération répugne peu à employé Christ comme cognomen dans judeo christianisme.
Dans les actes, Luc solemnise "eau nom de Jésus CHrist", alors que dans évangile, vie publique non. Marc Jésus : CHrist, Fils de Dieu. La première aprtie va à Pierre confesse le Messie, la deuxième confession du centurion.
Mt 1, 1? là oui. 1, 18 De Jesus Christ la genèse fut ainsi. en milieu judéo chretien. vers 70-80 avant Jude
Si Christos est un mot juif, l'intermédiaire pagno chretien pour faire accepter en cognomen le nom meme en pjudeo chretien fut fort. Il se peut que Iesou CHristou sonne plus judeo-chretien aux oreille de Luc dans la formule déjà judeo chretien en to onomati ...
DOnc luc judaise
Eis to onoma Iesou Christou. Repprochement avec les textes baptismaux de Paul
Non donnés eis to onoma Paulou (donc eis to onma Christou 1 Co 1 13-17
Rm 6? 267 le baptisé est mort au péchés
1 Co 1 17 Christ ne m'a pas envoyé baptiser mais annonce rl'Evangile/. Il insiste sur la non parenté spiriturelle entre le ministre et le baptisé, mmais sur celle de l'évangélisateur, évangélisé 1 Co 4 15, c'est moi qui apr l'Evangile vous ai engendré en CHrist,. D'ou le passif de Baptizesthai. D'ou ignore Jean-aptiste.
Eis to onoma Paulou ebaptisthète ?
Eis to onoma Christou ebaptisthète
Ga 3, 27 avec vétement : vous êtes baptis&és eis Chresiton, vous avez revetu le christ.
Rm Nus tous nous avons ét baptisés à Christ Jésus eis Christon Ièsoun.
1 Co 10, 2 eis ton Moysen
1 Cor 12 13 à un seul corps
Epitre aux Romains 6, 3? à Christ Jésus, à sa mort eis ton thanaton autou. (on voit nettement se dégager le sens pratique de "en vue de" vers lui directionnel mais pas final ? )
mort du chrétien à son péché christificaiton avenir du baptisé. eis indique un rite tourné vers le nom du Seingeur Jesus CHrist. Rejette le lien avec baptème de 1 Cor 6, 11 PAR LE CHRIST ET PAR L'EsPRIT pour etre justifié sanctifié et lavé. REJET à discuter car est-il convainquaint de rejeter ce seul exemple de la formule lucanienne chez Paul.
Le baptème selon Paul incorpore au christ, assimile au christ mort et ressuscité. Il précède le baptisé et l'appelle à un avenir.
CHez Oau en + datif.
dans la nuée, dans la mer local ou instrumental 1 Co 10, 2. De meme 1 CO 12 13 dans un seuil esprit en vue d'un seul corps. dans ou par local et instrumental. Tous nousa vons été abreuvé d'un seul Esprit pantes hen pneuma epotisthèmen. Pour Luc c'est charismatique et prophétique, pour Paul c'es tun agent de sanctification, de vivificaiton. C'est toute la vie du Chrétien quie st dans l'Esprit Saint. (1 Co 6, 11) ???
L' >EPitre de TIte, un maillon entre Paul et Luc
3, 5 Il nous a sauvé par un bain de renaissance et par une rénovaztiond 'esprit Saint. EInitiation Chrétienne en deux temps comme les Samaritains Ac 8 12-17, ou les johannites d'Ephèses Ac 19, 5-6.
Il nous a sauvés aprt un bain de renaissance et de rénovaiton d'Esprit Saint. Rappelel Ac 2, 38.
Un moyen de salut reprenant l'éprtitre aux romain l'homme est sauvé par la mort du Christ dont le bapteme est un signe, relecture. MAis portée plus grande vallant versd Luc.
COnclusion chez Paul
baptiser au passif
pas de repentir et rémission des péchés
distance par rapport à Jean Baptiste
relation au christe par la préposition euis
Même absence de lien à l'effusion de l'Espruit. Sauf 1 CO 12, 13 mauis c'est au moyen et non en vue de l'esprit Saint qu'on est baptiséé.
Celon Quesnel, luc aurait trouvé la formule kyrios Ièsous trés approprié au baptème du monde pagano-chrétien. Cependant Paul n'aurait pas utilisé l'expression telle quelle car le baptème met en rellatiopj avec le CHrist mort, c'est dans sa mort que nousa vons été baptisés Rm 6, 3 et Kyrios esty trios centré sur la szeule résurrection. Cependant dans les années qui ont séparé la rédaction la distinction christos et kyrios s'est déplacées, c'est le contexte culturel christos évoquerait un milieu judéo-chrétien (mais il disait l'argument fragile) et kyrios le monde hellenistique. Mort et ressurecton uni dans la globalité du mystère pascal. EN transformant la formule Luc manifeste que le bapteme s'enracien dans la résurection du Seigneur principe dun Salut et non plus, comme chez Paul, dans un être mis à mort avec le Christ.
Pourquoi ne pas penser que Philippe et Paul auraient eu une vision plus proche au départ du judeo-christianisme avant que Paul ne singularise son discours ? Ils auraient pu pratiquer un baptème en vue du nom du Seigneur dont témoigne. Puis Paul se serait fuixé rà un baptème en vue du Christ.
Bapteme et imposition des main se sont formé à un niveau antérieu r dela tradition H 6, 2 en témoignerait acomme les actes.

Alors pour ce baptème de Luc : il est différent de celui de jean parce que jean baptise ave cl'élément liquide qui lave,, dans le baptème crétien envahissement par l'Esprit Saint dont le rite d'eau est un support. la metanoia est fondée sur le nom de Jésus Christ impliquant une adhésion au Ressusicityé. Le but n'est pas que la rémission des péché c'est l'effusion de l'esprit saitns, les baptisés sotn jhabités par la force de l'Espeit et sont des témoin s du Ressuscité.

eLYSABETH? zACHARIE? sYM2ON COMME dAVIDE 5aC 1, 16) sont veterotestamentaitere . Jean aussi. la couppure entre l'encien et le nouveaui Lc 3, 20-21 La loi det les prophètes vont jusqu'à Jean; depuis lors, la bonne nouvelle du Royaume de Dieu est annoncée et tout homme d"ploie sa force pour y entrer. L'es prit saint vient sur Marie, Jésus n'esrt aps dit habité par l"esprit Sairtn avnart son baptéme, il prend le relaisJean estg l'aboutissement, Jésuys le poitn de départ, nous vivons désormais le temps de l'Esprtit, la foncrtion prophétique de l'Ancien rtestament réservée à quelques-unsd s'étant, par Jean puis Jésus, étendue à un peuple innimbrable.. Le baptème es to onoma topu kyriou Iesou, quandd il est suivit de l'imposition de smains, s'intégre chez Luc à sa vision prophétique du Saint Esprit "parlaien t en langues et prohpétisaient Ac 19, 6.. Pour l'EUnuque c'estle bpatiseur qui est transporté ar l'esprit Sioant comme Elie et Ezechiel.

Essai de reconstitution :

Jean avec son baptéme qui devait remplacver les sacrifices pour le pécher, .. Il annoncéit la procimité du jugement exchatolotique, par le feu, par le vent, on devait se repentir, obtenir le pardon de de spéchés en se soumettantr au rite.

Jésus a reçule baptéme de Jean. Mathieu en faisant donner l'ordre par Jésusrehjjette l'arguments de baptiste, c'est celui qui baptise qui est le plus gerand, on comprend alros que Luc introduise une séparation corporel pà l'encontre des meme aprtisan, et que Paul les tait. Aprés avoir été" un temps disciple de Jean, Jésus prend ses distyence. Dans l'évangile de Jean on voit que Jésus baptisait, mais les textes sont embarrassées, parfoisd corrigent : c'es les disciples. Jn 3, 22 et 26, 4, 1-2. On voulait éviter que l'événement histoirique ;l'emporte sur la rencontre avec le réssuiscité dans le baptème postérieur.

On a d'emblée christianisé le baptéme, lees derniers temps étaient arrivé"s, temps où l'Esprit de Dieu devait être répandu sur toute chair. L'événement du baptême de Jésus ^par jean aviat été amrqué" d'Esprit saint. On faisait partie du groupe des sauvé. D'où la proximité de beshem, rites d'exorcisme.

EN revanche dans la langue grecque le bapteme est un plongeau, submergeantnoyantt ce qui 'nes tpas hébreux (tabal, tebal). D'où le baptème mort avec le Christ esi ton thanathon Christou. Iic un commentaire sur l'Eunuque. MAis s'il y a la mort, il y a aussi la résurrection. LEunuque croit en Jésus CHrist .

Paul précisa : tout comme le repas du Seignneur, c'es tunr ite par lequel le croyant est incorporé au CHrist mort. C'ette mort avec le CHrist entrâine une mort au péché et la participation au salut, puisque la mort du CHrist est le geste qui sauve.

PUis l'église d'NAtioche et les communautés paulienens s'ouvrent aux non juifs. Le refus de la circoncisionfit choisir le baptème comem rite d'appartenance à l'Eglise pour les pagano-chrétien. . Le baptéme juif des prosélytes,n rite de purification fut aussi un facteur.Ce baptéme serait un plongeon fair eentrer le croyant dans le mouvementy de la mort du CHrist vers 50

VIngt années entre épitres et les actes. CHrstos devint un nom propre sont rapport avec la mort est moint écvident. Etre baptisé au nom de Jesus Christ dest entrer da&ns la démarche pascale, mourri pour ressuscitzer aveclui. Reessusciter faisait déjà partie de la démarche paulienne mais pas lié avec l'initiaition. . L'épitre aux Hébreuc 6, 2 et l'épitre fer Tites 3, 5, ajoutent donc l'impostion des mains , chez les pagano-chrétien au l'aurait prise dans le Dt 34, 9 car ressusciter avec Jésus et espressiond e la présence de l'Esprit sont nécessairte. l'ensemble constitue une initiation en deux étapes proches ou laointaines

La polémique entre baptiste et chretien d'autre part chez les judeo-chrétien fait éviter d'utilsier le verbe à l'actif , pour éviter un parrainage, : un rite qui vient du CHrist et qui dispense l'Esprit Saint.

Luc se trouve à Antioche de Syrie, il fut compagnon de Paul, mais l'églsie d'Antioche hérite des traditoons judéo-chrétiennes aprés la chute de Jérusalem. Il chanfe christos pen kyrios les deux mots ayant pour lui des contenus tres semvblables et désignant Jésus mort et récussicté mais le second lui semvblant plus adéquat pour qualifier un rite provenant de communautés pagano-chrétiennes. Et si ce n'était pas lucv qui change le mot mais une tradition pagano-chrétienne dont se démarque volontairement Paul. LUc Judaîse, il écrit pour païoen mais )à prés chuite de Jérusalemn il pense l'Eglise comme prolonement de Israel et les chré"tiens héritiers de l'ancien tesrtatment. . CE nom de Jesus CHrist est mentionné pour Pentecote et admissiond es paien et ajoue à la metanoia et aphesis hamartion. Prophétique.

COnclusion

S'intérroger sur l'organisation actuelle, et l'éclairé par cette analyse

Se rendre comte que dans l'histoire de L'Eglise proimitive, les gestes sont fiunalisés. La resception de L'esprrit es tle but pour Luc, Pour Paul c'est l'itinéraire mort resurerection

Luc un modèle de respect des source de projet thélologique coorespondant aux besoins d'une Eglise en un lieu et un temps donné

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